Le Tesla Cybertruck rencontre un obstacle présumé pour l’homologation en Israël.

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Le Cybertruck de Tesla débarque en Israël

Tiens-toi bien, le Tesla Cybertruck a débarqué en Israël, mais attends avant de sortir le champagne ! Le Ministère des Transports là-bas, il freine un peu des quatre fers. Ils ne sont pas trop chauds pour laisser passer ce pick-up tout électrique dans les garages d’homologation près de leurs ports.

Le Cybertruck fait le tour du globe

Pour le moment, le Cybertruck, c’est une affaire nord-américaine. Mais Tesla, ça leur plaît bien de montrer leur bébé ailleurs, du coup quelques exemplaires se baladent en Asie et en Europe. Et là, un petit malin semble avoir craqué son PEL pour s’en faire livrer un en Israël. Seulement, que le bolide soit là-bas, ça ne veut pas dire qu’il va pouvoir frimer sur leurs routes.

Un accueil avec des bémols

Le Cybertruck, il est arrivé, mais c’est pas la fête du slip pour autant. Le Ministère des Transports, ils discutent avec les instituts d’homologation. Pourquoi ? Eh bien, à cause d’une petite feature que Tesla a mise en avant sur son joujou : sa résistance aux balles.

Tesla joue la carte de la résistance… mais pas bulletproof !

Allez, on remet les choses au clair. Le Cybertruck, il est pas bulletproof à 100%. Mais Tesla, ils ont sorti le grand jeu avec leur acier spécial tout épais de 1,9 mm, qui peut stopper certaines munitions. Ils ont même fait un petit show sur YouTube et pendant un événement pour montrer comment leur pickup peut résister aux balles sans laisser quoi que ce soit entrer dans l’habitacle.

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De la résistance qui pose question

Évidemment, tout ça, ça a fait gratter la tête aux gars du Ministère des Transports en Israël. Selon un blog tech israélien, ils ont fait savoir aux autorités de contrôle que le Cybertruck, il va devoir passer un contrôle avant de choper une autorisation spéciale pour pouvoir rouler pépère sur les routes :

“Les véhicules importés personnellement doivent subir une inspection formelle dans un garage agréé après être sortis du port. Cependant, le Ministère des Transports émet des objections dans le cas spécifique du Tesla Cybertruck à cause de sa résistance aux balles. Pour l’instant, une autorisation spéciale est nécessaire pour conduire un véhicule blindé, et le Ministère a choisi de ne pas accorder cette autorisation tant que l’inspection n’est pas terminée.”

Ils ont aussi rajouté :

“Concernant le Tesla Cybertruck, si l’importateur se tourne vers vous pour effectuer la normalisation initiale et l’enregistrement, nous vous demandons de ne pas l’accepter jusqu’à nouvel ordre. C’est sur demande de la direction du Ministère des Transports jusqu’à ce que nous éclaircissions la question de la protection contre les balles.”

Les “tests à la Al Capone” d’Elon Musk

Avant même que le pickup atterrisse entre les mains des clients, Elon Musk, le grand patron, il a parlé de tests de résistance aux balles façon “Al Capone” sur son Cybertruck. Un exemplaire bien criblé a été aperçu sur la route. Musk a dit qu’ils avaient vidé tout un chargeur de Thompson sur la porte du conducteur.

Et il a ajouté : “Aucune balle n’est entrée dans l’habitacle.” Ce fameux Cybertruck, il a même été exposé au Petersen Automotive Museum à Los Angeles.

Voilà pour l’histoire du Cybertruck en Israël. Reste à voir comment tout ça va se démêler, mais une chose est sûre, la résistance aux balles, ça n’est pas seulement une question de muscle, c’est aussi une question de paperasse !

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